Maîtres et esclaves

En pays touareg, ce film nous entraîne dans une quête de justice au cœur d’une féodalité contemporaine. Cette intrusion dans l’univers de la servitude, dévoile la complexité des rapports entre maîtres et esclaves et leur inconcevable réalité.

La Photo déchirée, chronique d’une émigration clandestine

Au début des années soixante, des milliers de portugais débarquent clandestinement en France. L’auteur se souvient avoir entendu, lorsqu’il était enfant au bidonville, le récit de ces terribles odyssées. Trente ans après, il part chercher les images de cet exode.

Si-gueriki, la reine-mère

Si-gueriki, la reine-mère

Après dix ans d’absence, l’auteur retourne dans son village. Il est bouleversé par la disparition de son père, et surpris par la place qu’occupe sa mère aujourd’hui : elle porte le nom de Si-Gueriki (la reine mère), l’équivalent du roi pour les femmes.

Le Mariage d’Alex

Alex va chercher sa seconde épouse pour la ramener chez lui. Elise, sa première épouse, l’accompagne selon la tradition. Chronique d’une après-midi particulière pendant laquelle la vie de trois personnes bascule.

Le Dieu noir et le diable blond

Le Dieu noir et le diable blond

Le bouvier Manuel et sa femme Rosa s’enfuient à la suite d’un conflit sanglant avec leur «coronel». Le couple rejoint des mystiques autour du Noir Sebastião, qui prédit un apocalyptique retournement par lequel le sertão deviendra mer et la mer sertão.

Rocha que voa

Rocha que voa

A travers la période cubaine du cinéaste Glauber Rocha – un des maîtres du cinéma novo – son fils Erik Rocha, retrace le débat qui a existé dans les années 70 sur le rôle des Arts dans la révolution politique et sociale dans les pays du Tiers-Monde. Film-essai sur le rôle des intellectuels en Amérique Latine.

La Peine perdue de Jean Eustache

La Peine perdue de Jean Eustache

Le film est un hommage à Jean Eustache, grand cinéaste français peu connu et disparu. Au fil des lieux, des témoignages, des images et des sons, ce film esquisse le portrait du cinéaste et fait revivre, pour un moment, son œuvre et sa vie. On retrouve ici le principaux opus du cinéaste, au premier rang desquels « La Maman et la Putain » (1973). Mais aussi des films moins connus tels « La Rosière de Pessac » (1968 et 1979) ou un inédit tel « Numéro Zéro » (1971) consacré par le réalisateur à sa mère. Peu à peu, s’élabore ou transparaît la méthode empruntée par Eustache. Une fidélité quasi obsessionnelle au réel, héritée selon ses propres aveux de Lumière. Toujours en marque de la Nouvelle Vague, Eustache a influencé et marqué toute une génération, et son cinéma reste une source de savoir et d’inspiration.

Numéro zéro

Film entretien de près de deux heures que Jean Eustache réalisa en 1971 avec sa grand-mère, Numéro Zéro connut une version tronquée pour la télévision : Odette Robert.

Le Bruit, l’odeur et quelques étoiles…

Le Bruit, l’odeur et quelques étoiles…

Trois garçons, la République, une bavure policière, un pays où tout va bien tout va mal.Une œuvre chantée par Zebda, une histoire actuelle, une tragédie. Un film de cinéma pour dire et chanter comment on peut être français, vigilants, différents et bien ensemble.

Elsewhere

Le réalisateur est parti chaque mois de l’année 2000 dans douze régions du monde. Des rencontres éloignées du monde urbain, avec des hommes aux traditions et aux langues différentes. «L’Ailleurs» est une question de point de vue.